Les politiques d'extinction et de résiliation du gouvernement néo démocrate des habitants de la Colombie-Britannique continuent de provoquer des protestations et des débats.
Le vendredi 18 avril, trente membres du Mouvement de la Jeunesse autochtone occupaient le Bureau de la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique (BCTC) à Vancouver. La Commission, qui sent venir un semblant traité est dirigée par Alec Robertson qui jadis, était le principal associé de Davis and co, une puissante firme de droit corporatif de la Colombie-Britannique, et directeur des produits forestiers Daishowa Limité au Canada, populaires pour leurs violations du territoire Lubicon.
Bien que leur occupation au bureau de la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique à Vancouver soit terminée, leurs intérêts pour le Mouvement de la Jeunesse autochtone demeurent toujours. Quelques-uns de ces intérêts ont été prononcés dans leur communiqué de presse du 17 avril 1997:
Le 17 avril 1997 COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU MOUVEMENT DE LA JEUNESSE AUTOCHTONE
Le Mouvement de la jeunesse autochtone ainsi que les jeunes autochtones de plusieurs autres nations s'opposent à la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique en cette période d'incertitude politique, spirituelle, économique et environnementale.
Nos présents chefs sont en train de se détourner de leurs devoirs économiques et de leurs responsabilités fiduciaires envers les futures générations autochtones. Nous n'avons pas été informés des dettes, des inconvénients ni des droits que nous perdons à cause du lamentable régime politique présentement au pouvoir, qui a ébranlé nos droits en tant qu'Autochtones. C'est un procédé frauduleux qui ne sera jamais reconnu mondialement. Ce procédé permet aux tribus, sous l'Acte sur les Indiens, de se promouvoir en tant que nations paradoxalement au vrai statut de nation.
Ces chefs et ces conseils nommés par le gouvernement d'après les dispositions de l'Acte sur les Indiens prennent des décisions à huis clos qui affecteront tous les autochtones. La présence symbolique des jeunes qui devront vivre avec les "traités" est inacceptable.
Nous, les jeunes autochtones croyons que:
(1) Nos nations sont indivisibles.Ainsi, le Mouvement de la jeunesse autochtone n'endossera aucun traité venant du BCTC. Nous continuerons d'agir promptement jusqu'à ce que les demandes suivantes nous soient accordées:(2) Nous devons être consultés lors de toute décision majeure
(3) Nos peuples sont entièrement souverains.
(4) Nous représentons une majorité de notre population (57% 25 ans et moins)
- Une révision indépendante, cohérente et objective de tous les points, du présent traité, pertinents à tous les jeunes autochtones de tous les territoires.Pour nous rejoindre,- Nous exigeons une analyse du budget concernant les transferts de fonds dont le chef et le Conseil de la Colombie-Britannique bénéficient.
- Nous exigeons de parler avec les négociateurs en chef à notre discrétion.
- Tous les jeunes autochtones ont la même représentation sur toutes les clauses concernant les affaires autochtones.
cellulaire: 805-8452 DaveTous mes contacts
Téléphone: (604) 873-1833
Télécopieur: (604) 872-1845 Arlene
L'occupation du Bureau de la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique au centre-ville de Vancouver est terminée, mais le dégoût croissant et le projet d'abandon mis à jour par le corporatisme introduit par le président du BCTC, Alec Robertson, et le sommet des premières nations ne fait que commencer.
Le BCTC perd vite tout soutien qu'il avait. Récemment, le chef de la Bande indienne de Sechelt, une des plus modérée de Colombie-Britannique, a menacé de quitter le procédé BCTC traitant les négociateurs du gouvernement de "condescendants" et "d'arrogants". Le chef de la Bande indienne de DIA, Gary Feschuk a dit: "Nous sommes sur une route longue et co°ree;teuse vers un rejet et un échec presque assurés. Alors, pour la protection de mon peuple, j'arrête tout".
Entre temps, un accord-cadre a été signé entre les premières nations de Westbank et les gouvernements du Canada et de la Colombie-Britannique, le premier avec une bande indienne de l'Okanagan. Ronald Irwin, ministre fédéral sortant des Affaires indiennes et du Nord canadien, a dit: "Je me réjouis de voir que l'accord-cadre est conclu."
Par contre, l'activiste de Westbank, Tom Kindley, dit que ceux qui négocient de telles ententes ignorent ces peuples qui les élisent. "Ils ne peuvent abandonner et vendre leurs droits comme ils le veulent et ils ne possèdent par l'autorité inhérente ou accordée pour m'arracher mes droits ou ceux de mes petits-enfants ", déclara Lindley au magazine Windspeaker (mars 1997).
Lindley n'est pas seul dans cette opposition contre la fraude et le vol des terres manigancés par les gouvernements colonisateurs et leurs "super représentants" au le Sommet des premières nations, l'organisme de collaboration, prééminent de la Colombie-Britannique. Une sorte de "gouvernement autonome" qui est négocié et la raison pour alarmer les parties des traditionalistes et le peuple doivent être comprises un peu mieux en considérant l'avertissement suivant du Sommet des premières nations. Voici ce qu'ils font lorsqu'ils n'aident pas les autorités à démonétiser leur peuple comme ils l'ont fait à l'été 1995. Les leaders du Sommet comme Wendy Grant et Joe Mathias traitent les Défenseurs de Ts'peten "d'extrémistes". Lors d'une rencontre du Sommet des premières nations qui a eu lieu un peu après que le siège de Ts'peten de 1995 qui a duré un mois, tirait à sa fin, le membre du Sommet, Nathan Mathews du Conseil de la tribu Shuswap, a dit au Vancouver Sun: "La légalité du Lac Gustafsen continue de provoquer des inquiétudes concernant la légitimité des Chefs élus."
La lettre suivante apparaît dans l'édition d'avril de Khatou:
Le 1er mai, vous êtes invités à joindre les porte-parole seniors des affaires de la Colombie-Britannique et des premières nations pour la prochaine rencontre du Business at the Summit à Vancouver. TRAVAILLER ENSEMBLE, GRANDIR ENSEMBLE
Business at the Summit aide à créer une atmosphère dans laquelle les "affaires " et les premières nations peuvent travaillez et grandir ensemble.
Souscrivez aujourd'hui pour Business At the Summit
(604) 689-9822 Téléc. (604) 689-5434
Email: labrador@ mindlink.bc.caBusiness at the Summit est rendue possible grâce aux commanditaires suivants:
Alcan, BC Bearing Engineers Limited, Canadian National, La Banque Canadienne Impériale de Commerce, Centrale de caisse de crédit de la Colombie-Britannique, Deloitte et Touche, Le Sommet des premières nations, Les Affaires indiennes et du Nord canadien, Lignum Limited, Ministère des affaires autochtones, Pacific Northern Gas Ltd., Placer Dome Canada Limited, Weldwood of Canada Ltd.
Toutefois, la défense et les poursuites du Sommet des premières nations pour le colonialisme institutionnel et ses mérites de direction de la BC Hydro (George Watts) et de BC Rail (Ed John), n'ont pas réussi à distraire les autres de leur objectif de vraie décolonisation et de souveraineté.
La réaction de la nation d'Okanagan face à l'accord-cadre signé par la Westbank était:
(1) que le Territoire traditionnel d'Okanagan est indivisible. Aucune communauté telle que les premières nations de Westbank n'a le droit de négocier une partie du Territoire d'Okanagan;Une déclaration à la presse faite par la Bande indienne de Penticton le 28 janvier 1996 nous informe de l'état actuel des indigènes en Colombie Britannique:(2) en plus, les premières nations d'Okanagan requièrent le consentement des six (6) communautés des nations d'Okanagan restantes: la Bande indienne d'Okanagan, la Bande indienne de Penticton, la Bande indienne d'Osoyoos, la Bande indienne Upper-Similkameen, la Bande indienne Lower Simitkameen et la Bande indienne Upper. Sous aucun prétexte, la Bande indienne de Penticton ne permettra à cette fraude de continuer.
"La Bande indienne de Penticton repousse l'affirmation du Ministère des Affaires indiennes, Ron Irwin, que l'agitation des autochtones de 1995 et toute agitation dans le futur des autochtones sera liée au manque de progrès de la Commission de l'étude des traités de la Colombie Britannique. Nous trouvons la déclaration de Irwin totalement ridicule et sans fondement.Le gouvernement national TSILHQOT'IN a aussi exprimé son opposition face au traité frauduleux de la Colombie-Britannique. Dans une publication datée du 30 janvier 1997, ils stipulaient:"La Bande indienne d'Adams Lake, la Bande indienne d'Upper, la Bande indienne de Penticton et les gens impliqués dans la contrepartie du Lac Gustafsen sont unanimes dans leur opposition au procédé de la Commission de l'étude des traités de la Colombie-Britannique. En plus, nous devrions savoir qu'approximativement 80 communautés autochtones à travers la province ne supportent pas le procédé du traité de la Colombie Britannique. Toute suggestion que ces communautés voudraient apporter à 'l'insurrection autochtone' n'accélère pas le processus de règlement qui est totalement ridicule.
"Si les récentes déclarations du Ministre Irwin reflètent sa compréhension de ces questions critiques, il devrait immédiatement démissionner!"
"Approximativement 80 communautés autochtones à travers la province de la Colombie-Britannique ne supportent pas et ne participent pas au procédé de la Commission d'étude des traités de la Colombie Britannique."Il ne devrait pourtant pas être surprenant alors de penser que les gouvernements du Canada et de la Colombie-Britannique cherchent sans cesse à provoquer des confrontations entre les grandes nations internes comme celles d'Okanagan, de Shuswaps et de Tsilhqot'ins, afin de détruire cette formidable opposition au vol qui a lieu dans la province de la Colombie-Britannique. Un problème pourrait être relié aux tentatives constantes faites par la province de la Colombie-Britannique afin de saisir les droits de la route de la montagne verte qui traverse la réserve de la Bande indienne de Penticton. Certains obstacles sont survenus dans le passé et la province a menacé l'expropriation. Encore une fois, quelques passages de cet article révèlent le jeu dangereux que joue le gouvernement néo-démocrate de la Colombie-Britannique."De plus, dans plusieurs cas, seuls les fragments des groupes des tribus sont actifs dans la participation au procédé de la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique. Même si ces participants voulaient conclure une entente portant règlement, un tel accord ne serait pas reconnu, respecté ou honoré par le reste des communautés autochtones selon ce Groupe Tribal particulier qui choisie de ne pas être impliqué dans ce traité."
"Par conséquent, une certitude juridictionnelle et une stabilité Èconomique NE PEUVENT PAS exister sans l'application du présent traité de la Colombie-Britannique."
"Finalement, nous rejetons la récente déclaration publique du Ministre des Affaires autochtones, Ron Irwin, que l'agitation des Autochtones se ferait entendre si le procédé de la Commission de l'étude des traités de la Colombie-Britannique n'agissait pas d'une manière rapide ou efficace. Cessez de faire le contraire. Nous sommes convaincus que l'agitation autochtone se manifestera pour de bon si le procédé du traité demeure tel quel."
Le 26 septembre 1995, Le Chef national adjoint, Ray Hance, du gouvernement national de Tsilhgot'in, a écrit à Irwin lui rappelant "la tâche du gouvernement fédéral de protéger les communautés et les nations autochtones contre les politiques du gouvernement provincial, et de défendre nos terres contre l'invasion faite par le gouvernement "et le pressant de" quitter ses fonctions sans délais pour empêcher la confrontation majeure désignée par la province".
Hance a remis la lettre suivante au Premier ministre de la Colombie Britannique, Glen Clark:
Premier ministre Clark,Le gouvernement et le peuple de la Bande indienne de Penticton nous a informés qu'ils pensent que le gouvernement provincial soit délibérément en train de provoquer une confrontation sur la route de la montagne verte pour que vous puissiez revendiquer par force, votre supposée juridiction sur la route. Ils sollicitent maintenant notre soutien moral et physique au cas où vous réussiriez à manigancer une confrontation.
Aujourd'hui, je vous écris pour vous informer que notre soutien pour la Bande indienne de Penticton, comme pour celle de la nation d'Okanagan, continue et continuera d'être substantielle et inconditionnelle. Ce n'est pas seulement que nous avons une longue histoire d'engagements pour le soutien mutuel, mais ces engagements ont été renouvelés récemment. Nous sommes, maintenant obligés de supporter le peuple d'Okanagan et leurs gouvernements: nous n'avons pas le choix à cet égard. Je peux vous assurer qu'un tel soutien qu'on nous demande de fournir sera donné avec toute la vigueur et la détermination caractérisant celles des Tsilhqot'in. Je ne doute pas non plus que les autres communautés et nations se rallieront, elles aussi, à un tel soutien.
Le gouvernement du peuple de Penticton veut négocier. Ils ont été clairs avec vous. Étant donné que la négociation est toujours en faveur d'une confrontation, nous vous conseillons de suivre leur exemple.
Nous voulons que vous compreniez que Penticton est une parmi les nombreuses communautés et nations à s'objecter d'une manière si intense contre la frauduleuse dite Commission d'étude des 'traités' de la Colombie-Britannique qu'ils refusent de participer à ses activités, préférant attendre jusqu'a ce que des propositions descentes s'en suivent et qu'on puisse signer des traités sincères avec la Couronne même si l'attente se fait longue.
Entre temps, Penticton et presque tout le reste de notre peuple qui s'objectent ainsi, n'ont pas de forum pour discuter des griefs et de ce qui nous concerne. I1 n'y a aucun moyen de résoudre ces préoccupations qui doivent être adressées avant que cette procédure applicable soit adoptée.
Dans l'absence d'un traité entre la nation d'Okanagan et la Couronne, la loi constitutionnelle canadienne, autochtone et international reconnaît que tous les territoires traditionnels d'Okanagan sont sous la juridiction et l'autorité valide des gouvernements d'Okanagan seulement. Votre gouvernement doit reconnaître que le gouvernement de Penticton intente de négocier à partir de la position qu'ils détiennent la route de la montagne verte comme ils détiennent tout le reste de leur territoire traditionnel. Votre gouvernement ferait bien d'accepter la légitimité de leur position et de se préparer à faire des arrangements intérimaires avec eux, qui seront confirmés par un traité avec la Couronne du chef du Canada.
Le gouvernement n'intentera aucune procédure pour essayer répudier la vérité de l'histoire de cette province. Les intérêts de tous les concernés ne pourront être desservis que par le fait d'accepter honnêtement le simple fait que les gouvernements de la Colombie Britannique ont, même depuis la retraite du Gouverneur James Douglas en 1864, tenté de voler toutes les terres et les ressources naturelles de cette partie du monde, des nations indigènes, incluant nos routes, et ils ont tenté de dissimuler ce vol important en promouvant la propagande du mensonge. Un tel vol ne peut jamais être masqué indéfiniment. En vérité, le secret a déjà été exposé, et connaître l'histoire honteuse de la Colombie-Britannique est déjà disséminé (mais avec les agents publics et les types de milieux, elles sont malheureusement mal interprétées).
Nous vous recommandons fortement que vous, personnellement, lisiez, appreniez et compreniez la triste histoire de la province. Nous vous recommandons fortement que vous demandiez à vos ministres et à vos groupes de faire de même. Nous vous recommandons, collectivement, de faire de votre mieux pour éduquer les autres membres de l'assemblée législative à ces égards, et que votre gouvernement demande à tous les districts de fournir l'instruction nécessaire pour que l'ignorance consciemment cultivée de la propre histoire de la population de la province en général soit inversée. Nous vous recommandons de consulter les nations indigènes à chaque étape afin qu'on vous raconte la vraie histoire. Le gouvernement national de Tsilhqot'in désire assister la province avec un tel dévouement et vous fournir de plus amples informations sur ce qu'il a été dit dans cette lettre.
Votre meilleure ligne de conduite est d'écouter ce que vous dit le gouvernement autochtone de Penticton et de répondre d'une façon appropriée en établissant des relations formelles de gouvernement à gouvernement, et de vous adresser systématiquement à eux pour toute question. Je le répète, comme les gens de Penticton, le gouvernement national Tsilhqot'in vous amène à négocier et non à confronter. Mais je dois aussi vous avertir que si vous choisissez d'ignorer ces conseils et de provoquer une confrontation, vous le ferez dans une mesure qui saura vous choquer.
Finalement, je veux que vous sachiez que nous écrivons au gouvernement fédéral et aux membres de l'opposition du Parlement pour les alertez de l'importance de la situation qui s'est développée et pour leur demander la sagesse de négocier.
Sincèrement,
Ray Hance
Chef national adjointC.C.: Ministre des Affaires autochtones, Ministre des Transport et de la Voirie, Ministre des Forêts, Ministre de l'Environnement, des Terres et des Parcs, Ministre du Tourisme, des petites entreprises, de la Culture, et des autres intéressés.
Si les gouvernements continuent de provoquer et d'encourager les confrontations, si des aventures meurtrières comme le Lac Gustafsen continuent d'être manigancées à des fins politiques, l'attention et l'intervention des gens de bonne volonté à travers le monde seront requises.
Peu importe le verdict du député du Lac Gustafsen et malgré un système de colonisation connu constamment perfectionné comme celui de la Colombie-Britannique et du Canada, les peuples autochtones continueront d'être les souverains. Leurs résistances au colonialisme en défense de leurs droits à la souveraineté et à l'autodétermination trouvent des alliés et des "partisans" parmi la classe marginale croissante dans le régime pionnier même, qui perçoivent un ennemi commun, rejettent le génocide colonialiste, et ils sont déterminés à remplacer les oppressions racistes par l'honneur:
H ealing
O ur
N ations
O f
U nited
R esistance!
(Rétablissement de nos nations en s'unissant pour la résistance)
Natif "William Jones Ignace"
Prisonnier politique Ts'peten
Centre préparatoire au procès de Surrey
14323, 57e Avenue
Surrey, BC V3X 1B1 CanadaLibérez la campagne native
Partager le ciel - Tél./Téléc.: (604) 543-9661
Bill Lightbown - Tél.: (604) 251-4949Premier ministre du Canada Jean Chrétien
Téléphone: (613) 992-4211
Télécopieur: (613) 941-6900
Télécopie par courrier électronique: remote-printer.Jean_Chretien@16139416900.iddd.tpc.int
Adresse électronique: pm@pm.gc.ca
WWW commentaires: http://pm.gc.ca/prime_minister/contactpm/index.html-ssiiMinistre des affaires indiennes du Canada, Ron Irwin
Téléphone: 1-800-263-5592
Télécopieur: (819) 953-4941
Télécopie par courrier électronique: remote-printer.Ron_Irwin@18199534941.iddd.tpc.intSélectionnez une Commission permanente des Affaires aborigènes en présentant une soumission à la Commission d'étude des traités de la Colombie-Britannique
Adresse électronique: ClerkComm@lass.gov.bc.ca